ASSE : L'opération séduction de Patrick Bruel
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| Vendredi, 15 Octobre 2010 15:09 |
Actonnaire et membre de la Team Winamax, Patrick Bruel était dans le Forez, vendredi. Il s'est rendu à Saint-Etienne pour visiter le club de foot qui est sponsorisé par l'opérateur de jeu en ligne. A l'occasion de ce déplacement, Patrick Bruel a tapé le carton avec les membres de l'équipe verte et s'est exprimé sur la politique de marketing de la room... en vrai séducteur.
"Nous avons choisi d'être sponsors maillot pour deux ans car l'ASSE, c'est une histoire. Et je la connais très bien. [...] Pour moi, c'est un rêve de gosse. L'épopée des Verts, c'est mon adolescence et mon plus beau souvenir de foot, vécu sur mon lit en écoutant le match contre Split à la radio. L'équipe actuelle, je l'ai vue jouer à Paris, c'était un match très prometteur même si le résultat n'était pas au rendez-vous ce soir-là", a-t-il expliqué en conférence de presse.
Il a ensuite évoqué la bonne période des Verts, qui ont été en tête du championnat de France de foot pour la première fois depuis 30 ans il y a quelques semaines. "En tant que sponsor, nous sommes associés au succès. On nous dit que Winamax porte bonheur aux Verts, mais c'est l'ASSE qui nous porte bonheur : nous sommes la première communauté de joueurs en ligne. Alors oui, ça vaut le coup d'investir beaucoup d'argent dans un club de foot", a-t-il indiqué avant de se retrancher derrière le "secret" quand il lui a été demandé le montant du contrat qui lie l'opérateur et le club de foot.
Patrick Bruel a continué sa tactique d'évitement quand il lui a été demandé les objectifs de Winamax pour 2010. "Je ne peux pas le dire à cause de la concurrence. Nous sommes très satisfaits des premiers résultats", a-t-il dit avant de préciser que les "400 000 inscrits qui jouent au poker en ligne, (sont) surtout des hommes, âgés de 20 à 35 ans [...] des petits joueurs qui misent 20 euros en moyenne". Celui qui détient un bracelet WSOP mise donc sur la pratique du poker loisir, un jeu qu'il qualifie de "sport cérébral", un jeu qui nécessite du temps et des efforts. "Pour devenir un champion comme [...] Nicolas Levi, il faut avoir la tête très très bien faite. Il n'y a pas d'argent facile", a-t-il conclu.
Patrick Bruel lors du dernier WPT Paris
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