Monday 29 October
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Full Tilt - Groupe Tapie : accord imminent ?
Industrie
Lundi, 26 Mars 2012 11:40


Après d'incessantes hésitations et de multiples incertitudes, il semblerait bien que la reprise de Full Tilt par le Groupe Tapie ne soit plus qu'une question d'heures !

full_tiltParallèlement, le redémarrage de l'opérateur pourrait intervenir dans la foulée, la licence nécessaire étant prête et les négociations avec le Département de la Justice américaine très avancées. C'est du moins ce que laissent entendre plusieurs sources proches de l'affaire et la présence au cours de la semaine écoulée de Laurent Tapie à Dublin où se trouvent les bureaux de PocketKings, l'entreprise qui gère l'exploitation de Full Tilt.

D'après un acteur important de l'industrie du poker online, l'accord définitif pourrait même être signé et officialisé au cours de la semaine !

Pour rappel, les conditions imposées par le DOJ en préambule à une reprise comprenaient le remboursement des joueurs dont les fonds sont bloqués depuis le black friday. Nombreux sont donc les joueurs à attendre cette reprise avec intérêt...

 

 



 
Reprise de Full Tilt : no news, good news ?
Industrie
Vendredi, 23 Mars 2012 10:49


Alors que la dead line est dépassée depuis maintenant une semaine (le protocole d'accord prévoyait une finalisation au plus tard le 16 mars), les joueurs dont les fonds sont toujours bloqués et la communauté poker en général s'inquiètent de l'absence de nouvelles.

Une inquiétude renforcée par la déclaration laconique de Behn Dayanim, l'avocat chargé de la négociation par le groupe français, qui a tout simplement laché : "sorry, no news". D'après certaines sources, le retard serait du aux problèmes rencontrés par le Groupe Bernard Tapie pour réunir l'argent nécessaire à la transaction, environ 220 ou 230 millions de dollars. Un situation préoccupante, mais qui serait en passe d'être réglée selon certains éléments.

Autre contretemps, là-aussi en cours de solutionnement d'après nos informations, l'obtention de l'indispensable licence auprès de l'Alderney Gambling Control Commission.

Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ?

 



 
Interview Alain Fabre, directeur du Casino Cannes Croisette
Industrie
Mardi, 20 Mars 2012 19:50


A l'occasion du Chilipoker DSO Cannes 2012, nous avons rencontré Alain Fabre, Directeur du Casino Cannes Croisette.
Entretien avec un homme qui maintient actuellement son casino au top des casinos Français.

 

WSOPE, PPT, DSO, WPT… Cannes serait-elle devenue la capitale européenne du poker ?

Certainement. Ce que je dirais c'est que cette année, le Casino Croisette et notamment sa poker room, en terme de résultats de produits bruts réalisés, est la première room de France, devant Aix en provence, principalement grâce au cash game. Et depuis deux ans, on organise pas mal d'évènements (DSO Cannes, WSOPE), cette année une étape du WPT aura lieu du 28 mai au 3 juin, plus tous nos "Croisette Holdem Series", tous les mois on propose des formats deepstacks divers et variés, on a six tournois par semaine, donc oui aujourd'hui, notre casino est celui qui organise le plus de tournois à l'année.

Comment expliquez-vous que les deux étapes du DSO, cette année et l'an passé, soient les deux étapes records pour ce circuit de poker ? C'est la météo qui veut ça, ? C'est la ville ? L'accueil ?

Et bien je dirais que c'est un mixte de tous ces facteurs ! Cannes est une ville mythique, et puis venir sur la Riviera, ça reste agréable. C'est toujours mieux que Lille ou Tourcoing. Alors oui l'endroit en lui même a beaucoup d'atouts. Il y a également un savoir faire sur le Croisette, en terme de poker, qui nous permet d'ajouter ce particularisme à Cannes et au Croisette… Tous ces éléments réunis font que nous sommes assez plébiscités, nos tournois sont des tournois principaux, comme le DSO aujourd'hui ou le WPT National Series… c'est vrai que si on se réfère aux résultats obtenus lors des précédentes éditions, ça ne dépassait pas les 300 joueurs, mais j'ai bon espoir pour qu'on les dépasse et que cela devienne un véritable succès.

Vous me parliez du fait que le cash game y était beaucoup dans la réussite du Casino… mais alors quel est l'intérêt pour un casino comme le votre d'accueillir un tournoi à 550€ ?

Vous savez, dans le poker, il en faut pour tout le monde. D'ailleurs, si vous regardez nos tournois hebdomadaires, on a plusieurs tournois entre 80€ et 200€, une fois par mois on a un tournoi à 1 000€ ou 1 500€… on essaie d'élargir notre offre de tournois pour justement intéresser un nombre de personnes important. Par rapport au DSO, si on raisonne uniquement en terme de buy-in, puisqu'il n'est "que" à 550€, effectivement ça peut paraitre faible si on le compare à un WSOP ou à un WPT. Mais je dirai que ça reste une compétition qui est somme toute sympathique, avec une structure très correcte, et je pense que le joueur apprécie. Vous remarquez d'ailleurs que ce tournoi est également plébiscité par de grands joueurs qui ont l'habitude de disputer des WSOP, des EPT etc. L'avantage c'est que le field est assez varié, et puis vous avez tout de même 545 joueurs ! Quand vous arrivez au bout, même dans les 30 premiers, c'est déjà pas mal. Je pense qu'il ne faut pas se cantonner à une variance de tournoi bien spécifique. On essaie de varier notre offre, car le poker doit pouvoir être joué par tout un tas de gens, et pas seulement ceux qui ont un pouvoir d'achat élevé. C'est au travers de ce genre de tournoi qu'on acquière de l'expérience pour monter en gamme.

fabre
Alain Fabre, entouré de son équipe (à droite) et des représentants Chilipoker (à gauche)

Barrière Poker détient son propre site internet… et pourtant vous accueillez le tournoi d'une room concurrent, chilipoker, comment expliquez vous cela ?

Ce n'est pas parce qu'on a une room online, barrierepoker.fr, qu'il faut se donner des interdits. Le poker, c'est la représentation de plusieurs marques. Après il faut rester en phase avec son positionnement, avec sa marque. Moi j'accueille Chilipoker avec plaisir. C'est cette variété qui fait qu'on connait le succès que l'on a.

Comment vous positionnez vous, le Casino, par rapport au marché ?

On veut être un acteur majeur du poker, tout simplement. On a eu l'heureuse surprise de découvrir qu'on était la première room de France, c'est une satisfaction, mais ce n'est pas pour nous le graal. Ce que l'on veut vraiment, c'est que la poker room fonctionne, qu'il y ait de la fréquentation, de la variété, que nos tournois marchent… après le reste, il y a de la place pour tout le monde.

La concurrence est saine avec le Palm Beach de Partouche ?

Bien sur ! Après chacun doit mettre en place ses stratégies pour tout faire pour que cela marche, on ne tape absolument pas sur le Palm Beach. On essaie d'être accueillant, mon directeur des jeux, Alain Pina détient une connaissance des joueurs très large, c'est quelqu'un de disponible, à l'écoute, qui va vers des gens… c'est un tout en fait : il y a ce que l'on met en place, mais il y a également les gens qui travaillent avec nous, qui font qu'on se doit d'apporter un service client à toutes épreuves.



 
Une nouvelle salle de poker en ligne va cesser son activité
Industrie
Vendredi, 16 Mars 2012 18:47


Un nouvel opérateur de poker a annoncé sa cessation d'activité. LuckyJeux.fr, lancé conjointement par Partygaming et le Groupe AB en avril 2010, était basé à Malte et opérait sur le même réseau que PartyPoker, ACF Poker et PMU.

Les responsables ont annoncé que la fermeture définitive interviendrait le 29 mars et invité les joueurs à clôturer leurs comptes et retirer leurs fonds.

Une nouvelle fermeture qui confirme que le marché du poker en ligne est loin d'être l'Eldorado annoncé, notamment pour des raisons fiscales, et que les salles de poker ont besoin d'une taille critique pour survivre et se développer.



 
L'avocat du Groupe Tapie très optimiste sur un accord prochain
Industrie
Jeudi, 08 Mars 2012 14:44


Les informations contradictoires s'accumulent dans le dossier de la reprise de Full Tilt par le Groupe Bernard Tapie. Après de réelles inquiètudes sur une issue favorable, en partie à cause de dettes importantes dues par des joueurs pros, Behnam Dayanim, l'avocat du groupe français, s'est déclaré optimiste pour un accord avant la fin du mois de mars, déclarant : "nous sommes raisonnablement optimistes et pensons qu'un accord puisse intervenir dans les prochaines semaines."

Pour Dayanim, il est normal qu'une négociation de ce type soit compliquée et nécessite du temps, à cause des multiples intervenants dans le processus : DOJ, actionnaires, joueurs, multiples juridictions, etc. L'avocat ajoutant : "il n'y a jamais eu de deal de ce genre".

Pour autant, le problème des dettes de plusieurs joueurs envers Full Tilt constitue toujours un obstacle. Dix-neuf professionnels resteraient devoir de l'argent à l'opérateur, en particulier Phil Ivey, Erick Lindgren ou encore Mike Matusow, malgré tout les négociations se poursuivent et l'avocat espère un arrangement positif.

Behnam Dayanim a rappelé à quel point il était important que cet accord soit signé, aussi bien pour les joueurs dont les fonds sont toujours bloqués que pour le Groupe Tapie pour lequel il s'agit d'une opération de grande envergure.

 



 
Nouvelle fermeture d'un site de jeux en ligne
Industrie
Mardi, 06 Mars 2012 12:41


Cette fois-ci ce n'est pas un site de poker qui ferme ses portes, mais un site de paris en ligne, Paris365 qui cesse son activité.

Le site avait obtenu son agrément en 2010 et appartenait au groupe Sporever, sa fermeture ne constitue pas une surprise, l'opérateur ayant stoppé ses activités d'affiliation fin janvier.

Une source travaillant dans le groupe a dénoncé les niveaux d'imposition existant dans la filière : "une taxation inadaptée qui nous empêche non pas de nous développer mais de survivre".

Source : IGamingFrance.



 
EPIC : une dette de 4,79 millions de dollars
Industrie
Lundi, 05 Mars 2012 13:33


Federated Gaming Sports, la compagnie qui gère l'Epic Poker League joue la carte de la transparence en communiquant le montant de sa dette qui se chiffre à 4,79 millions de dollars (une conséquence de l'affaire Full Tilt ?).

Jeffrey Pollack est monté au créneau pour annoncer que tout allait être mis en oeuvre pour assurer la survie du concept et la tenue du dernier event programmé (le freeroll dôté de 1 million de dollars attendus par les 27 qualifiés) en tentant de trouver un nouveau partenaire.

 

jeffrey_pollack_wsop
Jeffrey Pollack : à vot' bon coeur, messieurs dames...


Si le concept est indéniablement de qualité (une ligue prestigieuse opposant les meilleurs joueurs mondiaux), l'importance des dettes contractées et l'absence de modèle économique viable en cette période où l'incertitude financière règne dans l'univers du jeu et du poker en particulier, semble malgré tout condamner l'EPIC.

Il se pourrait malheureusement que Daniel Negreanu ait eu raison et qu'un projet a beau être de qualité, s'il n'est pas accompagné d'un solide financement et du soutien d'une salle de poker en ligne, son espérance de vie s'avère extrêment faible.



 
L'EPIC Poker League en faillite !
Industrie
Mercredi, 29 Février 2012 21:53

. epic

C’est avec beaucoup de surprise que les participants à l’EPIC League ont découvert aujourd’hui l’email d’Annie Duke expliquant que l’organisation Federated Sports + Gaming (à l’origine du projet) avait "filed for a Chapter 11 bankruptcy reorganization". Ce qui semble être synonyme de faillite mais pas de liquidation…

La soeur d’Howard Lederer précise donc qu’il ne s’agit pas de la fin de l’EPIC Poker League et que leur souhait le plus cher est de mener la saison 1 à terme en s’associant avec une autre compagnie pour prolonger l’aventure.

Les joueurs sauront donc dans les semaines à venir ce qu’il adviendra du "1 million dollar freeroll" qui aurait déjà du avoir lieu en février et qui a été plusieurs fois repoussé. Et s’il est annulé, il y a fort à parier que la grogne sera sévère chez les 27 joueurs qualifiés (= ceux qui ont fait les plus belles perf' dans les premiers tournois, dont Fabrice Soulier chez les français) et qu’Annie Duke devra alors s’exiler sur la même île que son frère, ex-actionnaire de Full Tilt…

Ce qui est sûr c'est que Daniel Negreanu doit se frotter les mains d'avoir été le premier à publiquement dénigrer la League sur son blog, dans un post assassin qui expliquait pourquoi ce projet tomberait à l'eau...



 
Le Bad Beat Jackpot fait son apparition chez Partouche
Industrie
Mardi, 28 Février 2012 13:37

 

Le Groupe Partouche vient de lancer le Bad Beat Jackpot dans ses établissements. Le principe est simple : le joueur victime d'un gros "bad beat" se verra récompensé par une cagnotte alimentée par un prélévement indolore sur les tables de cash game (10 centimes par tranche de 200 euros).

Pour gagner le bad beat jackpot, la main minimale est un carré de sept ; autant dire qu'il s'agit d'un vrai bad beat et que perdre ce type de mains est suffisamment rare pour que la cagnotte promette d'être significative !

Lors d'un Bad Beat Jackpot, "l'heureux perdant" récoltera 50% de la somme et les autres joueurs présents à la table se partageront le reste.

Le Bad Beat Jackpot sera instauré dans les casinos du groupe à partir du 1er mars. De là à vous souhaiter un gros bad beat...



 
Poker 83 cesse son activité
Industrie
Samedi, 25 Février 2012 09:39


La nouvelle est tombée il y a deux jours et elle passée relativement inaperçue, l'opérateur n'étant jamais parvenu à percer sur un marché extrêmement concurentiel.

Lancée par le Casino de Cavalaire-sur-mer, le site comptait bénéficier des synérgies avec un casino en dur au sein duquel le poker était dynamique, mais n'a jamais réussi à atteindre une taille suffisante pour proposer une offre poker consistante et devenir rentable.

Poker83 cesse donc définitivement ses activités pour rejoindre Joa Online. Les joueurs ayant un compte sur Poker83 se verront proposer la possibilité que celui-ci soit transféré sur Joa.

Il s'agit de la quatrième disparition depuis la régulation du marché après celle de sajoo.fr, 200%poker et Eurosportbet.fr racheté par Unibet.

 

fermeture

 

Il semble inéluctable que d'autres disparitions ou rachats interviennent dans les mois et années à venir. Il n'y a pas de place sur le marché pour une vingtaine d'opérateurs de poker en ligne et le système de taxation en vigueur n'autorise aucun espoir de résultat financier positif pour les rooms.

Si la majorité des entreprises poursuit ses efforts en espérant à la fois gagner des parts de marché et un changement du mode de taxation, à terme le nombre d'opérateurs devrait significativement se réduire. Ne subsiteront que les entreprises bien gérées ayant atteint une taille critique suffisante et peut-être quelques opérateurs installés efficacement sur un segment porteur.

 

 



 
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PLAYER OF THE YEAR FRANCE


Nom
Score  
1
Bertrand
Grospellier
752.535

2
Bruno
Lopes
530.445

3
David
Benyamine
528.491

4
Aubin
Cazals
489.855

5
Alain
Roy
467.549

6
Roger
Hairabedian
457.068

7
Paul
Guichard
418.656

8
Tristan
Clemencon
411.163

9
Eric
Sfez
405.595

10
Phillippe
Ktorza
376.967



Top 100 France


Nom
Score  
1
Bertrand
Grospellier
2759.03

2
Roger
Hairabedian
2155.08

3
Tristan
Clemencon
1713.59

4
Fabrice
Soulier
1646.57

5
Phillippe
Ktorza
1626.17

6
David
Benyamine
1617.73

7
Alain
Roy
1614.92

8
Bruno
Lopes
1609.56

9
Guillaume
Darcourt
1514.07

10
Ludovic
Lacay
1487.5