Il s'agit d'une première embellie après une longue période de déprime pour les casinotiers français. Le Groupe Partouche a enregistré une hausse de son chiffres d'affaires de 1,4% sur les trois derniers mois d'activité (novembre 2011 à janvier 2012) pour total de 124,2 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Une progression à mettre à l'actif des casinos en dur qui bénéficient d'une progression de 2,5% à 116,1 millions de C.A. Des résultats toutefois tempérés par une baisse de l'activité dans les jeux en ligne, la branche Partouche Gaming accuse un recul de 16,7% pour un CA de 1,6 millions d'euros.
Le Groupe Partouche a réagi en annonçant une refonte prochaine du site Partouche.fr et nourrit de réels espoirs avec le lancement imminent de Partouche.be, un des tous premiers opérateurs agréés en Belgique.
A noter que Partouche.fr propose de nouveaux tournois à partir du lundi 27 février : le descriptif !
La nature a horreur du vide, une constatation qui est valable dans le milieu du poker ! Full Tilt et son Rush Poker ayant (provisoirement ?) disparu, PokerStars a récupéré le concept et s'apprete à lancer le Zoom Poker.
Le principe est simple et similaire à celui qui existait sur FT : dès qu'un joueur décide de passer une main, il se retrouve immédiatement à une nouvelle table avec un nouveau jeu.
L'innovation sera très prochainement disponible sur PokerStars.com, mais aucune précision n'a pour l'instant été communiquée sur une mise en service sur le site en .fr
Bally Technologies, un des plus importants fournisseurs en solutions interactives de jeu et en équipements à destination des casinos, a acquis le plateforme de jeux en ligne du groupe d'origine française Chiligaming, en vue de la régulation attendue du poker en ligne aux Etats-Unis !
La reprise, dont le montant et les conditions n'ont pas été révélées, de l'activité et des actifs B2B de Chiligaming permettra à Bally Technologies d'offrir un panel complet de services à ses clients américains. La solution de jeux en ligne de Chiligaming, IGaming Platform, sera intégrée au système de gestion de machines à sous et de casinos de Bally ainsi qu'à la solution Bally Business Intelligence offrant aux casinotiers une vue d'ensemble des activités de leurs joueurs.
Une belle réussite pour Chiligaming et son PDG Alexandre Dreyfus !
Il s'agit du deuxième accord d'envergure signé par Chiligaming après celui concrétisé avec le Golden Nugget. Alexandre Dreyfus, dirigeant de Chiligaming a ainsi déclaré : "nous sommes ravis de développer notre technologie, les connaissances et l'expérience de Bally pour apporter la meilleure valeur possible aux casinos terrestres."
La plateforme de poker en ligne pour le marché américain ne sera pas celle de Playtech, mais plus sûrement une combinaison de fournisseurs avec lesquels Chiligaming est en train de négocier.
Cet accord n'a pas d'impact sur l'acitivité française de Chiligaming et son accord avec Iliad.
. Thomas Kremser, considéré comme l’un des meilleurs directeurs de tournoi au monde, fait son grand retour sur le circuit professionnel en annonçant sa participation cette année au Russian Poker Tour via sa société TK Events.
Et s’il est question de retour, c’est que l'Autrichien avait décidé de prendre quelques mois de break suite à la fin de sa collaboration avec l’European Poker Tour l’an passé.
Thomas (à droite) et Gérard Serra, son bras droit : un style inimitable !
Eril Shakbaznian, CEO du RPT nous explique : “Nous sommes convaincus que l’expérience, le style et le grand sens de l’organisation de Thomas et de son équipe sera d’une aide précieuse pour le Russian Poker Tour. ”
La première étape du RPT aura lieu du 16 au 26 mars à Kiev pour un Grand Final au buy-in de 2 000 euros ; un tournoi pour lequel entre 200 et 300 joueurs sont attendus.
Alexandre Dreyfus, fondateur et CEO de Chilipoker, a récemment donné une interview à la radio américaine Quadjacks, afin d’expliquer en détail comment il compte mettre son savoir-faire aquis sur le marché du jeu en ligne européen au service des casinos américains souhaitant ouvrir leur rooms online.
Alexandre s’est en effet déjà associé avec le groupe Golden Nuggets (lire la news ici) afin de les préparer à l’ouverture prochaine du marché des jeux en ligne aux USA. Il nous explique que Chiligaming ne sera pas présent en tant que tel sur le marché US mais qu’il se chargera plutôt d’épauler et de conseiller les casinotiers américains :
La plupart des casinos en dur américains n’ont aucune connaissance en matière de jeu online. Il n’ont ni équipe, ni savoir faire, ni la technologie suffisante pour ouvrir leur room online. Mon but est donc de préparer ces casinos en leur offrant le conseil et la technologie nécessaire pour qu’ils soient prêt quand le marché sera enfin régulé.
Si [cette loi] devait arriver demain, ni Caesars, ni MGM, ni Golden Nuggets ne seraient prêts pour l’ouverture du marché. Donc à quoi servirait de réguler le marché si aucun des acteurs présents ne sont prêts à lancer leur site de jeu online ?
Il faut une nouvelle loi forte, pas une législation qui se rapprocherait du modèle de l’UIGEA. Ce que les gens veulent désormais, c’est une loi relative au jeu online précise et claire. Et je pense que [créer une loi ] selon un modèle fédéral et donc propre à chaque état serait beaucoup plus simple.
En revanche, devoir se limiter en terme de joueurs et créer un site par état multipliera les coûts initiaux, rendant le gain à court terme difficile. C’est donc en terme de positionnement de marque et de gains sur le long terme qu’il faut raisonner : ceux qui auront été prêts les premiers sont ceux qui auront la position la plus avantageuse et le plus de chance d’être rentables par la suite.
Il est vrai que poker online sera alors probablement au poker en live la même chose que Netflix aura été à l’industrie du cinéma ou expédia aux agences de voyages. Le fond du business est le même puisque les gens consomment autant (voire plus) mais c'est la façon de consommer qui change. C’est juste l’évolution logique du monde et franchement, même si Expédia a tué les agences de voyages, fallait pour autant l’interdire afin de préserver les agences ? Non.
Le seul obstacle finalement, ce sera probablement les lobbies (comme celui des casinos dans les réserves indiennes, par exemple), qui sont très forts aux USA. La situation est effectivement très complexe mais ce n’est pas pour autant que les questions soulevées par ce sujet n’ont pas de sens...
Cliquez sur l'image afin d'écouter l'interview dans son intégralité !
Cet accord constitue une belle réussite pour le groupe français Chiligaming. En effet le casinotier américain a choisi Chiligaming comme fournisseur exclusif de sa plateforme de poker en ligne dès que le marché local sera régulé.
Les deux sociétés lanceront un site gratuit lors du prochain trimestre, prémice d'une offre en argent réel dès l'ouverture du marché. La plate-forme igaming sera adaptable à n'importe quelle autre plate-forme de poker ou fournisseur de contenu, permettant une entrée rapide dans le marché et offrant flexibilité et adaptation au groupe français et ses clients.
Alexandre Dreyfus, le dirigeant de Chiligaming, a indiqué que le contenu de la plate-forme des jeux en ligne du Golden Nugget ne serait pas celle de Playtech utilisé en Europe, ajoutant "Chiligaming est ravi de s'associer à Golden Nugget, qui a une présence très forte aux Etats-Unis. Avec ses établissements à Las Vegas, à Laughin (Nevada) et Atlantic City, il est dans une position unique et idéale pour tous les développents en ligne à venir."
Tilman J. Fertitta, le président de Golden Nugget s'est lui aussi réjoui de l'accord : "Nous avons entamé un processus intensif il y a neuf mois et avons examiné plus d’une douzaine de sociétés de jeux en ligne et avons choisi Chiligaming en raison de leur expérience en Europe et de leur incroyable passion, talent et du fait que leurs connaissances du secteur dépassent de loin celles de leurs concurrents. Nous pensons que le jeu en ligne est inévitable aux États-Unis et que Golden Nugget sera bien positionné lorsque les lois des États-Unis permettront les jeux en ligne."
Un accord qui permet a Chiligaming de se positionner comme un acteur important du futur marché des jeux en ligne régulé et comme un partenaire potentiel pour d'autres établissments américains souhaitant se lancer dans la bataille.
Aujourd’hui était un grand jour pour Poker Leaders puisque la marque vient enfin de recevoir son agrément par l’Arjel, sésame nécessaire pour pouvoir ouvrir leur propre plate-forme de jeu.
Olivier Douce, appelé « le boss », nous explique :
« C’est vraiment une excellente nouvelle. Nous avions déposé notre demande d’agrément il y a plus d’un an, un dossier imposant de 13 classeurs pour un total de 6000 pages. Notre dossier était en cours de lecture quand est arrivée la période de certification des sites pré-existants, ce qui a ralenti tout le processus. De plus, nous avions attendu, avant de présenter notre dossier, qu’une autre marque du réseau Microgaming sur lequel nous sommes, voit sa licence confirmée en France. Ce qui a été le cas avec 888.fr, Mypok.fr et Poker Xtrem.fr. Tout ça pour dire que nous venons donc tout juste d’obtenir notre agrément et que nous pensons ouvrir la room d’ici deux mois. »
Quant à la future concurrence féroce avec les autres sites déjà en place, Olivier explique :
« Nous n’avons pas la prétention de nous dire que nous allons jouer sur le même terrain que Everest, Winamax ou Pokerstars puisque nous n’aurons évidemment pas les mêmes budgets de communication. En revanche, notre site regroupe de véritables passionnés de poker dont nos partenaires Bruno Lopes, Patrick Sacrispeyre ou encore JP Amsellem. Nous voulons créer une niche à notre image et en faire une petite room de passionnés sur laquelle les joueurs se sentent bien et en famille… »
Toute l’équipe de MadeInPoker leur souhaite donc la bienvenue dans le paysage du poker online français !
Pour lire l'article de leur super reporter Antoine Lafond et visiter leur site, cliquez ici !
PokerStars et son partenaire belge Circus Groupe ont obtenu leur licence d'opérateur de poker en ligne sur le territoire belge. Pour mémoire, les sites de poker doivent être associés avec un casino en dur exerçant sur le sol national pour espérer un agrément.
La société au pique rouge est l'une des premières à obtenir le précieux sésame et s'en réjouit, à l'image de Guy Templer, le directeur commercial en Belgique de PokerStars.be, qui déclare : "Nous sommes ravis de pouvoir offrir un produit local aux joueurs belges grâce à notre partenariat avec Circus Groupe. Cela conforte notre objectif d’obtenir des licences dans tous les marchés nouvellement régulés".
D'autres opérateurs ont déposé une demande d'agrément, notamment Unibet et Bwin qui attendent une licence pour les paris sportifs et Partouche pour le poker et les jeux de cercle.
Les chiffres communiqués par l'ARJEL concernant les résultats de l'activité au cours du dernier trimestre 2011 sont préoccupants.
Certes quelques données apparaissent positives, notamment l'augmentation de 24% des droits d'entrée aux tournois enregistrée lors du 4e trimestre 2011 par rapport à ceux constatés lors de la même période de l'année précédente. Positive aussi l'augmentation de 16% du nombre de joueurs actifs (ceux ayant joué au moins une fois au cours de la période concernée).
Parallèlement, le Produit Brut des Jeux des opérateurs agréés reculent de 6%, avec un chiffre d'affaires trimestriel de 76 millions d'euros, ce qui constitue le deuxième plus mauvais total depuis la régulation derrière le 3e trimestre 2010 (celui de l'ouverture du marché). La principale raison de ce recul de l'activité vient d'un net essoufflement du cash game ! Le montant des mises a diminué de 3% alors que le nombre de joueurs actifs baissait de plus de 10%.
Des données inquiétantes puisque la diminution est particulièrement importante chez les joueurs récréatifs occasionnels (ceux misant moins de 300€ par trimestre). Une catégorie constituant le principal vivier des nouveaux arrivants qui pourrait traduire un ralentissement de l'essor du poker.
Une donnée peut cependant être mis en avant pour expliquer ce recul : sur la période les budgets communication des opérateurs de poker en ligne sont passés de 93 millions à 46 millions d'euros. Un recul significatif qui a conduit les professionnels a délaisser les médias institutionnels (notamment la télévision) pour se recentrer sur les médias spécialisés, qui expliquerait peut-être ce tassement de l'activité avec un ralentissement important de l'arrivée de nouveaux joueurs engendrée par des campagnes de communication massive.
Dans une interview adressée à IGaming, Laurent Tapie a confirmé les propos de Ben Dayanim son avocat. A savoir que le refus de certains des 19 anciens joueurs de Full Tilt de rembourser l'argent qu'ils doivent à l'opérateur pourrait remettre en cause l'accord de reprise. Le Groupe Tapie n'est pas disposé à assumer le surcoût de 16,5 millions de dollars représenté par les dettes de ceux-ci.
Il précise cependant que plusieurs d'entre eux ont déjà signé des contrats les engageant à rembourser les sommes dues et espère que les autres vont prochainement les imiter. Laurent Tapie n'a toutefois pas (encore) révélé quels joueurs avaient été coopératifs ou non.
Parallèlement la situation financière de Full Tilt est apparue pire que prévue, ce qui explique l'importance de récupérer une grande partie de l'argent emprunté par les joueurs concernés. Le Groupe Tapie met donc les débiteurs sous pression, avançant que "l'affirmation selon laquelle cette situation peut bloquer le deal est malheureusement exacte" avant d'indiquer "lorsqu'on est un joueur de poker, a fortiori un grand joueur, reconnu et admiré, la règle de base, il me semble, c'est d'honorer ses dettes de jeu" !
L'homme d'affaires en remet une couche, dénonçant la position fallacieuse de plusieurs professionnels qui disent être prêts à rembourser l'argent s'ils sont surs que celui reviendra aux joueurs, en expliquant que "ils savent très bien que les joueurs ne seront remboursés QUE si le Groupe Bernard Tapie va au bout de la reprise et pour cela il est essentiel que les sommes dues par les pros reviennent dans Full Tilt".
Dans sa volonté d'accélérer le remboursement, il menace de manière à peine voilée de révéler le nom des professionnels indélicats en précisant "la communauté du poker, et en particulier celle des anciens joueurs de Full Tilt en attente de retrouver leurs fonds, mérite de connaitre la réalité du comportement de certaines grandes figures du poker..."
Un changement d'attitude paradoxal quelques jours à peine après l'annonce d'une finalisation imminente de la reprise. Le Groupe Tapie cherche-t-il à sortir d'un processus de reprise dont la complexité lui apparait excessive ou s'agit-il simplement d'une tentative médiatique pour forcer les joueurs concernés à rembourser l'argent au plus vite ?
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