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La reprise de Full Tilt par Tapie : bluff ou non ?
Industrie
Mardi, 04 Octobre 2011 12:17


L'intérêt du Groupe Tapie semble se confirmer jour après jour et les conditions d'une éventuelle reprise de l'opérateur par Tapie et ses associés se précisent.

Il semble acquis qu'une participation minoritaire est visée, entre 5 et 10% du capital, selon les sources et l'issue des négociations. Des discussions qui sont toujours en cours et qui portent principalement sur la recherche d'un accord avec le Département de la Justice américain. Un accord qui limiterait la portée des poursuites de la justice envers la compagnie dès l'instant qu'elle aurait changé de mains et surtout lui autoriserait à récupérer les 330 millions de dollars saisis par le FBI, le véritable trésor de guerre de Full Tilt qui lui permettrait de relancer l'activité et rembourser les joueurs à peu de frais !

D'après l'éminent Wall Street Journal, Bernard Tapie (au fil des jours Bernard semble remplacer Laurent dans les différents communiqués) tenterait de convaincre plusieurs des anciens actionnaires de Full Tilt de prendre part à l'aventure et d'investir. Une stratégie qui certes lui permettrait de récupérer l'opérateur à moindre coût mais entâcherait l'entreprise de réputations douteuses.

Parallèlement, la présence du Groupe Tapie dans la société ispt.com qui tente de lancer un nouveau circuit de tournois à grande ampleur dans des stades de foot (notamment à Wembley) tendrait à démontrer que la famille Tapie nourrit de réelles ambitions dans le poker.

Pour autant, l'homme d'affaires a-t-il réellement l'ambition de tenter un pari aussi risqué ? Entres poursuites de la justice américaine, procédures civiles lancées un peu partout dans le monde, opacité de l'entreprise, importance des sommes dues, ou encore la perte de l'indispensable licence, la complexité de l'aventure et les risques qui l'accompagnent sont de nature à mettre à tapis tout investisseur un peu loose...



 
Où est l'argent de Full Tilt : tentative d'explication
Industrie
Lundi, 03 Octobre 2011 12:02


Le site d'informations pokerfuse s'est livré à une étude et quelques calculs approfondis pour tenter de comprendre comment avait disparu l'argent des joueurs et les millions d'une société qui était numéro deux mondial dans son secteur d'activités et s'apparentait en toute logique comme une formidable machine à générer des bénéfices.

 

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La répartition des fonds envolés ou sequestrés :

. 444 millions de dollars pour les actionnaires
. 346 millions saisis par le Département de la justice américain
. 128 millions déposés par les joueurs mais jamais encaissés par le site suite à des défaillances du système de transactions
. 42 millions restant dus par les sociétés de paiement
. 5,5 millions prêtés et non remboursés à certains joueurs de la Team Pro (5 millions pour Ivey).  

La principale source de disparition des fonds est donc des capitaux versés aux actionnaires, dont une partie alors même que la société était déjà en grande difficulté. Même s'il convient d'être prudents avec les chiffres avancés, il ressort que les principaux bénéficiaires de ces dividendes versés seraient Chris Ferguson (87 millions de dollars), Howard Lederer (42 millions), Ray Bitar (41 millions), Rafe Furst (12 millions), plusieurs actionnaires privilégiés notamment Ivey (40 millions) et 284 millions pour le reste de l'actionnariat pas encore identifié.

Une analyse à la fois inquiétante lorsque l'on comptabilise les sommes versées aux actionnaires mais qui autorise aussi un certain optimisme eu égard aux montants saisis par les autorités américaines (346 millions) susceptibles d'être partiellement utilisés pour rembourser les joueurs.



 
Scandale Full Tilt : Doyle Brunson et Barry Greenstein livrent leur opinion
Industrie
Dimanche, 02 Octobre 2011 10:11


En ces temps troublés qui voient le numéro deux mondial aux portes de la disparition et plusieurs des icones du poker trainées dans la boue, Doyle Brunson et Barry Greenstein restent parmi les dernières légendes dépositaires d'une certaine considération.

Prudents jusqu'à ce jour -leurs noms étant accolés à des sites exerçant aux Etats-Unis avant le black friday- ils ont récemment exprimé leurs opinions à propos de la situation de Full Tilt et l'implication de certains de leurs pairs.

 

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Sérieux maux de tête pour Doyle Brunson...


Doyle Brunson a notamment affirmé "je suis très surpris car je connais Howard (Lederer) depuis des années et l'ai toujours estimé" avant d'ajouter "je l'ai toujours considéré comme une personne d'une grande morale et je vais continuer à croire qu'il ne savait pas réellement ce qui se passait". Il reste persuadé que la situation est d'avantage due à une absence de contrôle qu'à une intention de nuisance, considérant son expérience personnelle d'homme d'affaires qui ne l'a jamais vue "prendre les bonnes décisions", avant de conclure "les joueurs de poker ne font pas de bons businessmen..."

Barry Greenstein a livré une version assez similaire, déclarant "je suis persuadé qu'ils (les reponsables de Full Tilt) ne voulaient pas voler les joueurs mais que le black friday est arrivé au pire moment pour le site" avant de préciser "beaucoup des actionnaires de Full Tilt sont mes amis et la majorité ne savait pas ce qui se passait."

 

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Sérieux doutes pour Barry Greenstein


Les deux légendes continuent de défendre leurs pairs, estimant que si Full Tilt a continué à verser des dividendes aux actionnaires alors que l'opérateur était dans l'incapacité de rembourser les joueurs c'était avant tout dans le but d'éviter un mouvement de panique inévitable et dramatique si la situation financière critique de la société était connue, le temps pour la direction de relever l'entreprise.

Les deux hommes estiment aussi que la responsabilité du législateur américain est indirectement entâchée. En ayant créé une zone grise avec l'UIEGA empêchant toute régulation et donc tous contrôles des salles de poker en ligne, les autorités nord-américaines ont laissé les joueurs déposer de l'argent sur des sites n'offrant aucune garantie. Barry Greenstein concluant "Je ne pense pas que le gouvernement doit être blamé pour les erreurs de Full Tilt, mais il est responsable de l'absence de régulation du poker online et des conséquences de cette situation".

Solidarité amicale ou vision de deux sages expérimentés, les positions de Doyle Brunson et Barry Greenstein démontrent que de nombreuses zones d'ombre demeurent et qu'il sera difficile de faire toute la lumière sur les circonstances ayant engendré cette invraisemblable situation.



 
Laurent Tapie est effectivement candidat à la reprise de Full Tilt
Industrie
Samedi, 01 Octobre 2011 01:34


Ce qui n'était au départ qu'une rumeur semble se confirmer. Laurent Tapie est à la tête d'un groupe d'investisseurs qui a signé un accord avec le conseil d'administration pour la reprise de Full Tilt.

Plusieurs inconnues demeurent. En premier lieu les conditions suspensives inhérentes à l'accord, notamment la faculté de pouvoir récupérer une licence d'exploitation et de parvenir à un agréement avec le DOJ américain. Dans un second temps, même si cela demeure anecdotique, aucune révélation n'a été faite sur l'implication ou non de Bernard Tapie.

D'après nos informations, Laurent Tapie et ses partenaires se seraient engagés à reprendre tous les actifs de Full Tilt et indemniser l'ensemble des joueurs lésés.

 



 
Chiligaming lance Chiliplay et veut conquérir les USA
Industrie
Vendredi, 30 Septembre 2011 11:29

Le groupe de jeux français Chiligaming lancera Chiliplay, "le premier réseau social de poker en ligne gratuit", le 3 octobre et annonce l’ouverture d’un bureau à San Francisco.

Le nouveau réseau est déjà lancé sur Facebook et utilise la plateforme de poker de Table14 (Winamax), qui compte 130 000 joueurs uniques actifs mensuels et environ 23 000 joueurs unique quotidiens (play-for-fun). Le service sera accessible aux joueurs américains, en prévision du l’ouverture du marché US.

Il sera offert en plusieurs langues et sera accessible sur tout type de téléphone portable et offrira un large éventail de fonctionnalités de jeux sociaux comme la monnaie virtuelle.

Chiligaming n’a jamais pris de paris aux Etats-Unis avant ou après le passage du Unlawful Internet Gambling Enforcement Act en 2006, son ouverture au marché américain est donc une première pour le groupe.

Le nouveau produit "est un élément clé de l’expansion de Chiligaming dans de nouveaux marchés, y compris aux Etats-Unis et en Asie-Pacifique" a déclaré la société ; son fondateur Alexandre Dreyfus a ajouté : "Le marché des jeux est en évolution et Chiligaming évolue avec en élargissant son opération pour devenir un acteur du social gaming, en plus d’être un opérateur de jeux en ligne établi. Chiliplay.com sera la première marque à se lancer sur le réseau et nous allons accueillir d’autres partenaires maintenant que tous les dispositifs d’accès sont prêts."

Rohin Malhotra, directeur de Chiligaming, a commenté : "Cette nouvelle plateforme est la plus avancée du marché au niveau technologique. Dans (l’environnement actuel) de pré-régulation aux Etats-Unis les casinotiers et autres marques de jeux sont impatients d’entrer légalement dans le secteur (des jeux) en ligne, accroître leur présence et chercher à prendre un bon départ, Chiligaming est le partenaire idéal."

Sources : IGamingFrance

alexandre_dreyfus
Alexandre Dreyfus et Chilipoker s'attaquent désormais au marché Américain



 
L'AGCC révoque la licence de Full Tilt
Industrie
Jeudi, 29 Septembre 2011 17:05


La décision est sans équivoque et risque de précipiter la disparition de l'opérateur. Un certain espoir était pourtant apparu avec le délai offert à Full Tilt pour tenter de finaliser un accord de reprise avec les repreneurs intéressés, notamment le groupe d'investisseurs français qui occupaient la pole-position et dont le dossier semblait offrir de sérieuses garanties.

L'AGCC a estimé que Full Tilt était allé trop loin dans les manipulations et dissimulations, trompant délibérement les instances de contrôle en certifiant posséder les fonds nécessaires au remboursement des joueurs. L'ensemble des informations dévoilées au fil des jours et de l'avancée de l'enquête de la justice américaine a nécessairement contribué à ce que l'Alderney Gambling Control Commission décide de révoquer définitivement la licence de l'opérateur.

La date de la décision n'est sans doute pas étrangère avec le délai maximal fixé par les repreneurs français qui indiquaient que leur offre de reprise était valable jusqu'au 30 septembre. En statuant la veille, le collège de l'AGCC a semble-t-il attendu l'extrême limite, soit la fin des nécociations et l'échec de cette tentative ultime, pour entériner la disparition de Full Tilt.

Il demeure néanmoins difficile d'anticiper sur l'évolution de cette affaire. La justice américaine va poursuivre ses investigations, les victimes (principalement les joueurs) vont intensifier leurs actions juridiques et l'avenir de l'opérateur s'assombrit dangereusement. Il n'est pas impossible pour autant qu'une reprise intervienne ultérieurement. De nouveaux responsables qui reprendraient Full Tilt auraient toutes les chances d'obtenir une licence, dès l'instant qu'ils offriraient toutes les garanties morales et financières et garantiraient le remboursement des joueurs.



 
L'Asie : nouvel El Dorado des casinos
Industrie
Jeudi, 29 Septembre 2011 11:31


Après que Macao ait dépassé irrémédiablement Las Vegas en crise, que Singapour se soit hissé parmi les places fortes du jeu mondial, une nouvelle métropole est en passe de se positionner comme une future capitale du jeu : Manille !

Les projets de nouveaux établissements gigantesques se dessinent dans le Sud Est Asiatique, à Macao et Singapour toujours, mais aussi dans la capitale des Philippines. Trois projets pharaoniques sont en prévision dans la ville dont la métropole dépasse 15 millions d'habitants.

. Le Casino de l'Universal Entertainment Corporation devrait être en exploitation en 2014 et prévoit plus de 2 milliards de dollars de chiffre d'affaires dès la première année.

. Le projet de Kazuo Okada (associé à hauteur de 20% dans le groupe Wynn) s'annonce extrêmement amibiteux avec un immense complexe comprenant deux casinos (3 000 machines à sous sont prévues), trois hôtels et un centre commercial. Coût estimé : 2,3 milliards de dollars.

. En comparaison le projet initié par Melco Crown Entertainment semble presque modeste puisque l'investissement ne devrait pas excéder le milliard de dollars.

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New York ? Non Manille !


L'Asie du sud-est nouvel El Dorado du jeu... et de l'économie mondiale !

 

 



 
Bwin absorbera Sajoo le 30 septembre
Industrie
Mercredi, 28 Septembre 2011 10:19


Avec le rapprochement entre Bwin et Sajoo, la disparition du second nommé était prévisible après que Sajoo ait signifié à ses partenaires l'arrêt de son programme d'affiliations le 1er septembre.

Créé par le Groupe Amaury (propriétaire entre autres du quotidien sportif L'Equpie), Sajoo.fr cessera son activité le 30 septembre. Les comptes des joueurs Sajoo seront transférés sur Bwin dès la fusion entre les deux opérateurs.

Les responsables de la nouvelle entité ont déclaré que ce rapprochement était dicté par "les challenges liés à la régulation et au régime fiscal actuellement en vigueur en France".

D'après de nombreux spécialistes, il semble inévitable que des concentrations et des cessations d'activités continuent d'intervenir sur le marché français dans les trimestres à venir.



 
Des investisseurs français en pole position pour racheter Full Tilt
Industrie
Mardi, 27 Septembre 2011 12:37


La rumeur de l'intérêt de Laurent Tapie, le fils du célèbre homme d'affaires, se confirme. Il est à la tête d'un consortium d'investisseurs français qui a manifesté une volonté réelle de reprendre le site en difficulté.

Des négociations avancées ont eu lieu récemment à la fois avec l'opérateur par le biais de son avocat -qui est toujours Jeff Ifrah-, avec l'AGCC -les Français étaient à l'Audience de Londres- et aussi avec le département de la justice américain, car la possibilité que Full Tilt récupère sa licence est la condition sine qua non du rachat.

Une lettre d'engagement a été présentée par le groupe candidat qui assure de son intérêt, garantit qu'il possède les moyens financiers nécessaires pour régulariser la situation du site, notamment le remboursement des joueurs, et reste valable jusqu'au 30 septembre.

Les chevaliers blancs français représentent visiblement la dernière opportunité de sauver la compagnie en déroute, de rembourser les joueurs et d'éviter une disparition qui jetterait l'opprobe sur toute l'industrie du poker. Autant de raisons qui poussent toutes les parties en présence à étudier cette possibilité avec attention et qui expliquent pourquoi l'Audience de Londres a été aussi longue et n'a pas débouché sur une décision définitive.

Certaines inconnues demeurent, notamment la réaction du DOJ et les négociations entre les autorités américaines et les repreneurs qui veulent parvenir à un accord avec la justice américaine (montant des amendes, fin des poursuites contre la nouvelle entité, etc.) avant de s'engager définitivement vont s'avérer décisives. La volonté de sauver l'entreprise et rembourser les joueurs lésés sera-t-elle suffisante pour que le DOJ accepte de transiger ? L'avenir de Full Tilt en dépend en grande partie...



 
Full Tilt, rumeurs et suspension de licence (?)
Industrie
Jeudi, 22 Septembre 2011 15:25

Alors que le compte-rendu de l'Audience de l'Alderney Gambling Control Commission est toujours attendu avec impatience, de nombreuses rumeurs circulent dans le microcosme du poker.

. Les plus nombreuses annoncent une révocation définitive de la licence de l'opérateur par l'AGCC. Même s'il s'agit d'une décision qui semble logique vu le passif de Full Tilt et la gravité des accusations qui s'accumulent de jour en jour, la durée imprévue de la réunion (deux jours au lieu d'un seul) et le délai de délibération démontrent que les choses ne sont pas aussi simples. Révoquer définitivement la licence de l'entreprise reviendrait pratiquement à prononcer son acte de décès et par la-même ôter toutes chances aux joueurs de récupérer les fonds bloqués ou au minimum une partie de ceux-ci.
Une décision délicate pour l'AGCC qui ne peut souhaiter une telle issue, mais joue sa crédibilité et ne peut laisser indéfiniment les choses en l'état. Quoiqu'il en soit une déclaration devrait intervenir sous peu.

. Parallèlement à mesure que l'avenir de Full Tilt s'assombrit, de nombreuses rumeurs annoncent un accord imminent pour la reprise de l'opérateur. Depuis le début de la tourmente, plusieurs négociations ont été mises en avant avec des repreneurs, toujours anonymes, sans que celles-ci n'aboutissent.

. Dernière rumeur, partiellement confirmée par l'avocat de Full Tilt (qui a aussi déclaré que rien n'apparentait le fonctionnement de son client à une chaîne de ponzi !) : des négociations très avancées avec des repreneurs français seraient en cours. Impossible pour l'heure de savoir quel crédit accorder à ces allégations, tout juste est-il possible de préciser que personne dans l'industrie du poker hexagonal ne nous a confié avoir des informations sur le sujet.

 



 
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PLAYER OF THE YEAR FRANCE


Nom
Score  
1
Bertrand
Grospellier
752.535

2
Bruno
Lopes
530.445

3
David
Benyamine
528.491

4
Aubin
Cazals
489.855

5
Alain
Roy
467.549

6
Roger
Hairabedian
457.068

7
Paul
Guichard
418.656

8
Tristan
Clemencon
411.163

9
Eric
Sfez
405.595

10
Phillippe
Ktorza
376.967



Top 100 France


Nom
Score  
1
Bertrand
Grospellier
2759.03

2
Roger
Hairabedian
2155.08

3
Tristan
Clemencon
1713.59

4
Fabrice
Soulier
1646.57

5
Phillippe
Ktorza
1626.17

6
David
Benyamine
1617.73

7
Alain
Roy
1614.92

8
Bruno
Lopes
1609.56

9
Guillaume
Darcourt
1514.07

10
Ludovic
Lacay
1487.5